C’est avec intérêt que je partage un article sur l’approvisionnement responsable. Cet article paru le 20 septembre dans le bulletin d’approvisionnement de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec me fait réfléchir à un parallèle avec l’économie circulaire.
L’approvisionnement responsable repose sur sept questions centrales d’une démarche de responsabilité sociétale :
- Gouvernance
- Droits de l’homme
- Relations et conditions de travail
- Protection de l’environnement, biodiversité et réhabilitation des habitats naturels
- Communautés et développement local
- Bonne pratique des affaires et loyauté des pratiques
- Questions relatives aux consommateurs
Le concept de l’approvisionnement responsable est appuyé par l’exécution de celui de l’économie circulaire.
L’écosystème proposé par l’économie circulaire met de l’avant une production en boucle fermée où les sous-produits d’une industrie servent d’intrants à une autre. De plus, les biens en fin de vie sont retournés dans le cycle de production.
Ainsi, pour se démarquer dans une démarche d’approvisionnement responsable il faut envisager faire de l’économie circulaire!
Tout d’abord, l’économie circulaire doit être appuyée par la même gouvernance d’entreprise que celle d’où émerge l’approvisionnement responsable.
L’économie circulaire permet la protection de l’environnement par la réduction de la ponction de matières naturelles afin de produire des biens de consommation.
Le développement local est aussi favorisé : une entreprise peut trouver de nouvelles opportunités d’affaires grâce aux sous-produits de ses voisins.
L’aspect des bonnes pratiques d’affaires est rehaussé par les entreprises qui démontrent une proactivité pour le développement durable.
Ainsi, l’économie circulaire renforce 4 des 7 questions centrales d’une démarche de responsabilité sociétale sur lesquelles repose l’approvisionnement responsable.